Dans ce jeu d’Adam Hill et Clayton Hargrave (illustrations de Jesse Rigle), les adeptes de la théorie du complot se voient donner raison. En effet, Neil Amstrong n’a jamais effectué son premier pas sur la Lune, et ce fameux grand pas pour l’humanité. Cependant, leur satisfaction ne va pas manquer de virer en étonnement quand on leur apprend que le studio de cinéma qu’ils avancent comme être théâtre des opérations de cette mascarade est en fait… une planète reliée à la terre via un vortex!
Dans Godspeed, un jeu édité par Pandasaurus Games (Dinosaur Island), l’expédition d’Apollo XI vise à jeter un »brouillard de guerre » sur un conflit autrement plus important, puisqu’il oppose Soviétiques, Européens, Américains, Japonais, Indiens et Chinois. Tous lancés dans une course pour le contrôle de la planète.
Godspeed est donc un jeu de placement d’ouvriers. Chaque joueur disposant d’équipes de spécialistes dont l’influence varie en fonction de leur placement sur le plateau de jeu. Chaque membre de l’équipe peut être utilisé pour effectué une tâche pacifique (militaire, génie civil, exploration, logistique, etc.). Un système d’enchères générant également une interaction entre les joueurs.