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Cannes 2019: Nous avons aimé…

Bon, finie l’édition 2019 du Festival International des Jeux de Cannes. Comme tous les ans, le chemin du retour se fit dans un état d’esprit qui mêlait le plaisir, celui découvrir moult nouveautés et de revoir de vieux potes, et les regrets ; tant de jeux et si peu de temps ! Durant ces trois journées intensives (il y a longtemps que je ne vais plus au off qui se déroule durant les soirées), j’ai cependant pu essayer une bonne vingtaine de jeux divers et être témoin de nombreuses parties
– car, pour une fois, j’étais dégagé de toute obligation. Beaucoup d’entre eux m’ont particulièrement séduit, l’année 2018 a été particulièrement prolifique en bons produits et les kickstarters en cours ou en projets présents sur le salon brillaient par leur excellent niveau de qualité. Voici une petite liste des jeux qui nous ont particulièrement marqués.

ON A ADORE

MALHYA, LANDS OF LEGENDS : la très sympathique et dynamique équipe de 4Univers nous a invité à tester ce jeu de figurines hybride dont le lancement du kickstarter est prévu pour ce printemps (au plus tôt). MALHYA mêle des éléments de dungeon crawling, de jeu d’aventure narratif et de jeu de rôle à travers un jeu de plateau qui se décline en deux échelles, une stratégique et une tactique. Dit comme cela, ça a l’air un brin compliqué mais, en fait, tous les éléments semblent parfaitement s’imbriquer pour construire un récit épique et immersif. Le tout est servi par un super rendu visuel (j’ai oublié, malheureusement, le nom du charmant responsable de la ligne graphique et des dessins) et des superbes figurines 28mm (les protos sont vraiment réussis), qui donne la sensation que MALHYA n’est pas un quelconque univers fantasy mainstream mais doté d’une véritable personnalité (une vingtaine d’années de développement, d’après le staff). On espère sincèrement qu’ils parviendront à se faire une place dans l’impitoyable univers du kickstarter.

Si vous désirez en savoir plus, sachez qu’il y a déjà un site dédié, ainsi qu’une page facebook.

MINUIT, MEURTRE EN MER : ce jeu des éditions Multifaces nous a tellement plu que l’on est parti avec les deux boites (la boite de base et son extension). MINUIT, MEURTRE EN MER est un jeu d’enquête pour 2 à 6 joueurs qui évoque, pour ceux qui connaissent, SHERLOCK HOLMES, DETECTIVE CONSEIL, avec une grosse différence : l’aspect compétitif (alors que son ‘’concurrent’’ est pur coop). Dans ce jeu, chaque joueur incarne le passager d’un navire de croisière sur lequel a été commis un meurtre, le premier qui révèle l’identité de l’assassin (qu’il se trompe ou pas) met un terme à la partie. La boite comprend plusieurs scénarios, de complexité croissante. Les postulats de départ sont : le meurtre est toujours commis entre 23h45 et minuit, l’assassin a toujours agi seul, le menteur est toujours le coupable. Partant de là, vous pouvez enquêter sur le navire en déplaçant votre meeple sur le plateau pour interroger les suspects, les membres d’équipage ou le personnel, ou fouiller salons et cabines. Le système s’appuie sur une mécanique style Livre Dont Vous Etes le Héros, chaque interrogation envoyant à une référence du livret où le personnage livre sa réponse. Le jeu est SUPER IMMERSIF, on se prend vraiment à jouer le rôle d’une miss Marple ou d’un Hercule Poirot projeté à bord de ce navire de luxe dans les années 80 (style La croisière s’amuse), cela principalement grâce à la qualité d’écriture qui rend hommage aux romans policiers populaires. Vraiment très, très chouette !

Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’éditeur (https://www.multifaces-editions.com/minuit-meurtre-en-mer/)

SAVE THE MEEPLES : voilà un jeu qu’il est bon ! Votre mission : sauvez les Meeples des humains, qui veulent les capturer pour les mettre dans des boites de CARCASSONNE ! Pour cela, une seule solution, s’activer pour construire une fusée qui pourra évacuer un maximum de membres de votre tribu de meeples vers la planète Meeple. Mais, dans le même temps, il va falloir résister aux attaques des humains, le temps d’achever la construction de l’engin. Sous ce pitch loufoque se cache un jeu de gestion de ressources et de placement à la mécanique bien huilé, qui offre un joli défi aux joueurs. Nous avons pu tester le jeu sous la direction de son auteur, Florian Siriex. Durant la partie, chaque joueur doit embarquer ses meeples sur un ou plusieurs des quatre trains qui mènent à l’usine, à la mine, à la taverne, ou à la forêt. Les trois premiers lieux permettent d’acquérir ressources, points de gloire et nouveaux meeples, dans la forêt se trouvent les humains, qui doivent être neutralisés (en les faisant prisonniers, car les meeples sont des gentils, pas des meurtriers). Le visuel est super chouette, la mécanique encourage à la réflexion et il y a plusieurs manières de remporter une partie. Ayant couru après plusieurs lièvres, je me suis sacrément ramassé, la victoire revenant à mon voisin britannique (on ne se méfie jamais assez des Anglais, surtout quand ils sont sympathiques).

SAVE THE MEEPLES est un jeu édité par Blue Cocker.

ON A BIEN AIME

NAGARAJA est un jeu de Bruno Cathala et Théo Rivière, édité par Hurrican. Généralement, les jeux de Bruno Cathala collent rarement à mes goûts, surtout ces dernières années. J’étais donc un brin méfiant quand l’on s’est assis sur une table du stand Hurrican pour tester cette nouveauté. Et là, force est de l’avouer, j’ai été bluffé. Sous l’air d’un quelconque jeu de placement de tuiles, comme il y en avait des caisses sur ce salon, se cache un jeu pour deux joueurs malin et plein de rebondissements – l’aspect tactique étant chamboulé par l’intervention d’un élément aléatoire. Le jeu est joli (illustrations de Vincent Dutrait). Au final, on se creuse bien la tête pour gêner les projets de son adversaire et optimiser les siens en gérant au mieux sa main de cartes. Votre objectif est de finir d’explorer votre temple ou de découvrir trois artefacts avant votre adversaire. Mais gare aux artefacts maudits !!

dav

Le jeu était présenté en avant-première (sortie le 29 mars). Du coup, on est reparti avec.

SOLENIA : je trouve le visuel moche (question de gout) et le matos un peu cheap, donc je ne l’ai pas acheté. Du coup, je le regrette un peu car j’ai eu grand plaisir à tester ce jeu de Sébastien Dujardin, édité chez Pearl Game. SOLENIA est un jeu grand public pour 1 (fait suffisamment rare pour être signalé) à 4 joueurs où la mission est de secourir la population d’une planète en manque de ressources, grâce à une mécanique du style pick and delivery. Confronté à un système de cycle jour/nuit et à un plateau de jeu évolutif, chaque joueur va devoir trouver le bon timing pour satisfaire aux commandes et gagner des points de victoire. Simple, court (environ ½ heure) et amusant.

US TELEGRAPH est la projection du jeu ATTIKA dans le grand ouest américain. Une relecture du classique de Marcel-André Casarola-Merkle, donc, mais cela n’en fait pas pour autant un produit inintéressant. Si vous ne possédez pas l’original et que vous appréciez les jeux de placement de tuiles, US TELEGRAPH, édité par SUPER MEEPLE, est apte à vous satisfaire avec son système très fluide, adapté à toutes les configurations (de 2 à 4 joueurs). Pas révolutionnaire mais efficace.

dav

CLASH OF RAGES, même si je ne regrette pas d’avoir zappé le kickstarter (nous avons déjà quelques jeux du même type). Le visuel de ce jeu créé par Frédéric Guérard est chouette (j’aime beaucoup les figurines) et très coloré. Il bénéficie d’un gameplay souple et fluide qui est facilité par la présence d’hexagones. J’avais déjà testé le jeu l’année dernière (comme pour PLANET OF THE APES ou LE TRÔNE DE FER, tous deux de nouveau présents cette année). J’ai de nouveau cédé à la tentation et passé une petite heure assis autour du plateau, avant de céder ma place à un visiteur qui ne connaissais pas le jeu. Si vous aimez les jeux d’affrontement, CLASH OF RAGES ne manquera pas de vous séduire.

ON S’EST BIEN MARRE

Avec la réédition (une version améliorée tant les petits changements ont leur importance) de CAMEL UP (Spiel Des Jahres 2014), le jeu de pari à base de courses de chameaux. Vous pariez sur un chameau en cours de course mais ce n’est pas parce qu’il est en tête à un moment de la partie, même avec une large avance, qu’il va gagner. Sa course peut en effet croiser celle de chameaux débiles qui viennent en sens inverse et qui embarquent votre favori dans leur délire. Les quatre joueurs que nous étions (on peut jouer jusqu’à huit !) ont eu de véritables fous rires devant les comportements totalement farfelus des chameaux mais, attention, CAMEL UP exige quand même une petite dose de calcul et de réflexion si l’on espère gagner… Et un brin de chance. Cerise sur le gâteau de la franche rigolade, le plateau est superbe et la matériel de qualité (une pyramide en plastique qui sert de godet à dés remplace le triste modèle en carton et le plateau comprend une oasis en pop-up). Bref, j’ai été rarement aussi gai après une défaite.

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ON A ÉTÉ IMPRESSIONNE

Par le stand LEGION : le distributeur spécialisé dans le jeu de figurines a débarqué en force à Cannes avec un magnifique stand où figuraient en vedette VILLAGE ATTACKS (Grimlord Games), DARK SOULS, THE BOARD GAME (BNEI) , bien entendu, mais également l’impressionnant MYSTHEA (Tabula Games), THE FACELESS (AlterEgo Games), HARRY POTTER MINIATURE ADVENTURES (WG), FALLOUT WASTELAND WARFARE (FFG), EDEN (HGF) et ARISTEIA (Corvus Belli). Nous avons pu tester, à travers deux parties, THE FACELESS, un jeu de coop hybride (figurine et plateau), au concept original. Vous devez diriger un personnage-boussole au moyen de personnages-aimants situés sur le bord du plateau pour récolter des ressources, tout en évitant un méchant, lui aussi équipé d’un aimant (à polarité inversée). Une bonne prise de tête pour un bilan mitigé, n’ayant pas été personnellement convaincu par le produit final, le méchant, au socle trop gros (pour y faire entrer l’aimant), dépassant des cases et mettant un peu le ouaille sur le plateau. A côté de cela, j’ai assisté à une partie de MYSTHEA, en présentation sur le salon (sortie au printemps prochain). Le jeu de Marta Ciaccasassi et Martino Ciacchierra évoque l’ameritrash style FFG ; un gigantesque espace de jeu, des tonnes de marqueurs et de figs, le tout de très belle qualité. C’est un mélange de jeu d’exploration sur un plateau évolutif (il représente un univers composé d’îles en mouvement) et de combats, chaque joueur représentant une guilde. Les actions sont gérées via un système de card-driving. Les parties sont longues, trois bonnes heures, c’est pour cette raison que l’on ne pouvait participer que sur réservation – la partie à laquelle j’ai assistée  a d’ailleurs eu un final précipité, le salon fermant ses portes.

Par le dynamisme de MYTHIC GAMES : une vraie ruche que le stand MYTHIC GAMES, installé à un endroit idéal, juste à l’entrée de la zone figurines du salon. Une énorme équipe d’animateurs, sous l’égide de Benoit Vogt, présentait à une foule nombreuse les produits de l’éditeur. Plusieurs tables de JOAN OF ARC, SOLOMON KANE, et le petit dernier : REICHBUSTER : PROJEKT VRIL, un jeu d’infiltration avec figurines au cœur d’un univers SF évoquant WOLFENSTEIN, avec ses über-soldats nazis avides de sciences occultes et extra-terrestres (campagne KS actuellement en cours). Comme toujours avec cet éditeur, les figurines sont superbes, le visuel de qualité. Le système de jeu est le fruit du travail de Jack Thornton, déjà auteur des règles de SOLOMON KANE et, au premier regard, m’a semblé assez proche des mécanismes propres aux produits Games Workshop. Dans le même temps, Léonidas Vespérini et Az Drummond teasaient sur les nouveaux projets MYTHIC GAMES, deux jeux de plateau d’envergure plus modeste (mais que l’on devine très intéressants), à savoir HEL : THE LAST SAGA, qui se déroule dans le monde des vikings, aux environs de l’an 1000 (quelques visuels étaient présentés au public), et FANTASY SUPER BRAWL, un jeu de cartes de sport-baston façon BLOOD BOWL. Seb Lavigne était également présent, délivrant de bons conseils sur la peinture de figurines.

Par MONUMENTAL, le jeu de FunForge. Je n’ai pas pledgé ce kickstarter, et je le regrette vraiment tant j’ai été impressionné par la qualité du produit. Des magnifiques figurines, un plateau superbe pour un jeu de conquête dont j’ai seulement eu un aperçu (j’ai assisté à une demi-heure de jeu) mais qui m’a suffi à entrevoir l’immense potentiel de sa mécanique de deck-building. Un grand moment de frustration.

Par la fièvre KEYFORGE : L’APPEL DES ARCHONTES ! Le deck de départ du nouveau jeu de Richard Garfield était en rupture dès samedi midi et l’immense stand qui lui était consacré n’a pas désempli du weekend. Il faut dire que ce nouveau jeu du créateur de MAGIC révolutionne un peu les genres JCC et JCE. En achetant un paquet, tout joueur se verra en possession d’un deck unique. Fini l’achat de boosters, vous devrez faire avec votre deck, en essayant d’optimiser son usage en fonction de votre adversaire !

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ON A ÉTÉ EMBALLE

Par la présence d’affiches RUNEQUEST sur le stand de BLACK BOOK EDITIONS. Il est vrai que l’on attend avec impatience la sortie en français de la 6ème édition du jeu de rôle du regretté Greg Stafford. On a également apprécié la belle affluence dans le coin réservé à CHRONIQUES OUBLIEES et à CHRONIQUES OUBLIEES CTHULHU, des règles d’initiation au jeu d’aventures, avec plein de petites têtes blondes découvrant le jeu de rôle papier, ce qui démontre la bonne santé de notre hobby. L’espace jeu de rôle a connu d’ailleurs une bonne fréquentation.  

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Par notre rencontre, dans l’espace réservé aux jeux de rôle, avec le grand et sympathique Didier Guisérix, qui présentait sur son stand la nouvelle édition de MEGA, ce grand classique du jeu de rôle space op. Toujours un plaisir de discuter avec ce gentleman du JDR.

sdr

Par CTHULHU : DEATH MAY DIE. Rien à dire, le kickstarter de CMon est superbe. Le visuel donne vraiment envie de jouer à ce survival pour 1 à 4 joueurs. J’ai pu assister à une partie de séance et les participants étaient vraiment plongés dans le rôle de leurs personnages. L’immersion est vraiment bien présente. Dans CTHULHU : DEATH MAY DIE, les joueurs incarnent des investigateurs déjà bien ébranlés psychologiquement, ils présentent tous des névroses. Aux joueurs de bien utiliser les caractéristiques de leurs personnages pour tenter, ensemble, de repousser l’arrivée d’un Grand Ancien. Je regrette vraiment de ne pas avoir eu le temps d’essayer.

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ON A ÉTÉ HEUREUSEMENT SURPRIS

En se promenant dans l’espace wargame et jeu d’Histoire qui est, force est de l’avouer, l’espace le moins fréquenté du salon, à la fois par le public et les éditeurs. Cette année, seul Shakos était présent, avec la présentation de NAPOLEON 1806 et, surtout, celle en avant-première de NAPOLEON 1807. En fait, l’endroit était surtout occupé par les deux associations de Toulon et de Nice qui, durant les trois jours, ont enchaîné des parties sur des différentes règles et périodes. La surprise, elle, se situait dans un coin, près du stand Shakos. Là, sur une table, une boite de jeu baptisée CORSICA ! Nous avons donc questionné Philippe Thibault, son éditeur, sur le sujet. CORSICA est un projet de jeu de plateau, inspiré de BRITANNIA, qui a pour thème l’histoire de la Corse de l’époque romaine jusqu’à la libération de l’ile en 1944. Une affaire à suivre.

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ON A ÉTÉ INTRIGUE

Par un jeu d’avion au look bizarre, du coup j’ai posé quelques questions sur ce jeu créé par Thomas Planète et Samy Maronnier. TURBULENCES, qui sera disponible au printemps sur Kickstarter, transporte le joueur dans la peau d’un pilote d’aéropostale au sein d’un univers dystopique où cohabitent machines diesel et machines à vapeur. C’est un jeu de course pour 2 à 6 joueurs qui se déroule sur un plateau modulable. L’originalité du produit est qu’il est réalisé en France, en Normandie plus précisément, totalement en bois recyclé. Le résultat est vraiment très élégant.

Par KHARN-AGES. Il faut dire que le stand de l’éditeur, bien que de taille modeste, attirait l’œil avec une superbe exposition de figurines léonines. Le lancement de la campagne kickstarter de ce jeu d’escarmouche (oui, encore un!) se fera le 15 mars. Alors, si vous êtes intéressé, vous pouvez jeter un œil sur le site dédié et ou sur la page facebook.

dav

ON A ÉTÉ DECU

Par SAGRADA, aux éditions Matagot. Alors, certes, le jeu est très beau et la configuration de 1 à 4 joueurs aurait pu me convaincre. Mais, au-delà de ces aspects intéressants, j’ai trouvé ce jeu de placement de dés complètement froid, me rappelant les anciens jeux de système allemand, et tristounet. L’impression est appuyée par le faible niveau d’interactivité entre les joueurs (cela se résume à la possibilité de contre-picker). Bref, je me suis ennuyé ferme.  Heureusement, le jeu est court. J’en ai même oublié d’en faire une photo. En fait, pour rester chez Matagot, je lui ai préféré WINGSPAN (un jeu Stonemaier, éditeur de SCYTHE). Ce jeu de placement de cartes à base d’élevage d’oiseaux manque également d’interactivité mais dégage plus de fun, je trouve.

Par ARKEIS. Non pas par l’intérêt du jeu mais par la difficulté d’accéder à une démo. Fan des jeux d’Antoine Bauza et de Ludovic Maublanc, j’espérais réussir à en savoir plus sur ce gros projet de Kaedama/Ankama, qui doit être proposé en kickstarter fin 2019. L’univers, l’Egypte des années 30 d’Indiana Jones et de la Momie, me séduit particulièrement. Ben, nenni. Bon, j’ai quand même pu admirer quelques jolies figurines.

dav

De ne pouvoir pu jouer à MENESTRELS, le nouveau jeu de Bruno Faidutti, qui était de plus présent sur le stand Sweet Games pour présenter son jeu. A la place, on a testé DOLORES, du même concepteur, chez Lui-même, et on a trouvé ça bien bof.

ON REGRETTE

De constater, comme tous les ans, le nombre exagéré de tables de jeu monopolisées par des joueurs portant un badge. Bon, j’avoue, quand j’en bénéficiais, j’en profitais aussi, mais, à ma décharge, en ma qualité de représentant de Presse, c’était un peu normal de tester des jeux. Je regrette surtout que de nombreuses tables soient bloquées par des porteurs de badges Exposant (qui, en principe, devraient être sur leurs stands), certains jeux ayant même été inaccessibles pour le public pendant tout le weekend. Un public qui a fait la queue dehors pendant des plombes, espérant pouvoir essayer un jeu qui lui a tapé dans l’œil. Pas cool.

EN CONCLUSION

On a de nouveau pris notre pied. vivement l’édition 2020!

Nicolas Lamberti

Nicolas Lamberti, journaliste et traducteur freelance, critique littéraire et réalisateur de télévision

Nicolas Lamberti

Nicolas Lamberti, journaliste et traducteur freelance, critique littéraire et réalisateur de télévision

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