L’HUMILIATION DE L’ARMEE RUSSE

BACKGROUND

Grâce à son roi Gustave Adolphe, la Suède devint au 17ième siècle une des plus grandes puissances européennes, et acquit des nombreuses possessions en dehors de ses terres. Ses voisins était pour la plupart des alliés forcés, plus impressionnés par la puissance de l’armée que liés par l’amitié ou la sympathie.

Au début du 18ième siècle, un personnage se lève contre l’omnipotence de la Suède et de son armée, et inquiète par les mots suivants le gouvernement suédois : ‘’Je suis parfaitement avisé que les Suédois nous battrons durant des années, mais nous apprendrons ce qu’il faut de ces défaites, alors nous parviendrons à les battre à notre tour’’. Et on peut comprendre l’attention toute particulière que porte le roi de Suède Charles XII à ces mots lorsque l’on sait que leur auteur n’est nul autre que le tsar de Russie, Pierre 1ier.

La Russie, avec la Pologne et le Danemark-Norvège, est un des voisins immédiats de la Suède, et depuis 1699, ces trois nations se sont unies dans une alliance. Et il leurs semble intolérable que les Suédois dictent leur loi sur les terres jadis contrôlées par leur couronne. Cette alliance représente pour la Suède une forte menace, même si elle n’a jamais été une nation aussi forte, avec ses vassalités en Finlande, en Estonie, en Livonie et en Poméranie.

Au début de l’été 1700, les trois nations décident d’attaquer les possessions suédoises sur trois fronts. Les Danois envisagent un débarquement dans le sud de la Péninsule Suédoise, en Skåne, les Polonais entrent en Livonie et les Russes marchent sur la ville suédoise de Narva, située seulement à 30km de Saint Pétersburg. Le chef de la place de Narva, le colonel Adolf Fredrik Horn organise la résistance avec ses 2000 hommes et ses 400 chevaux. Les Russes investissent Narva et mettent le siège de la ville, la bombardant sans répit.

Les Suédois commencent par mettre à raison les Danois. Après seulement deux mois, les troupes de Charles XII battent les Danois définitivement devant les murailles de Copenhague, forçant le roi du Danemark à la paix. Une fois réglé ce problème, Charles XII, à la tête de seulement 8 500 hommes embarque pour l’Estonie afin de délivrer Narva. Après 200 km de vive marche, les Suédois arrivent aux environs de Narva, ou les attends plus de 30 000 russes.

L’HUMILIATION DE L’ARMEE RUSSE

BACKGROUND

Grâce à son roi Gustave Adolphe, la Suède devint au 17ième siècle une des plus grandes puissances européennes, et acquit des nombreuses possessions en dehors de ses terres. Ses voisins était pour la plupart des alliés forcés, plus impressionnés par la puissance de l’armée que liés par l’amitié ou la sympathie.

Au début du 18ième siècle, un personnage se lève contre l’omnipotence de la Suède et de son armée, et inquiète par les mots suivants le gouvernement suédois : ‘’Je suis parfaitement avisé que les Suédois nous battrons durant des années, mais nous apprendrons ce qu’il faut de ces défaites, alors nous parviendrons à les battre à notre tour’’. Et on peut comprendre l’attention toute particulière que porte le roi de Suède Charles XII à ces mots lorsque l’on sait que leur auteur n’est nul autre que le tsar de Russie, Pierre 1ier.

La Russie, avec la Pologne et le Danemark-Norvège, est un des voisins immédiats de la Suède, et depuis 1699, ces trois nations se sont unies dans une alliance. Et il leurs semble intolérable que les Suédois dictent leur loi sur les terres jadis contrôlées par leur couronne. Cette alliance représente pour la Suède une forte menace, même si elle n’a jamais été une nation aussi forte, avec ses vassalités en Finlande, en Estonie, en Livonie et en Poméranie.

Au début de l’été 1700, les trois nations décident d’attaquer les possessions suédoises sur trois fronts. Les Danois envisagent un débarquement dans le sud de la Péninsule Suédoise, en Skåne, les Polonais entrent en Livonie et les Russes marchent sur la ville suédoise de Narva, située seulement à 30km de Saint Pétersburg. Le chef de la place de Narva, le colonel Adolf Fredrik Horn organise la résistance avec ses 2000 hommes et ses 400 chevaux. Les Russes investissent Narva et mettent le siège de la ville, la bombardant sans répit.

Les Suédois commencent par mettre à raison les Danois. Après seulement deux mois, les troupes de Charles XII battent les Danois définitivement devant les murailles de Copenhague, forçant le roi du Danemark à la paix. Une fois réglé ce problème, Charles XII, à la tête de seulement 8 500 hommes embarque pour l’Estonie afin de délivrer Narva. Après 200 km de vive marche, les Suédois arrivent aux environs de Narva, ou les attends plus de 30 000 russes.

LA BATAILLE

Le 20 novembre, au matin, le roi donne l’ordre à ses troupes de marcher sur l’ennemi et fait tirer le canon une fois pour prévenir la garnison de Narva de leur attaque, qui répond par deux coups de canon, comme le veut le code de reconnaissance suédois.

Les Suédois gravissent une colline située à deux kilomètres environ de Narva et observent les positions ennemies. Les Russes sont sous le commandement du duc Eugène de Croy, car le tsar est absent. Ce dernier a disposé ses troupes pour protéger le camp de tentes et il attend l’attaque Suédoise sans trop de conviction quand il aperçoit le peu de troupes à la disposition de Charles XII. Convaincu que les Suédois n’oseront jamais attaquer, il décide d’aller déjeuner alors que les Suédois installent leurs pièces d’artillerie sur la colline.

Charles XII et Rehnskjöld hésitent sur la conduite à tenir lorsque le temps se met soudainement à changer, un vent violent se lève et la neige se met à tomber abondamment. Les deux généraux saisissent l’opportunité. Couverts par la tempête, les lignes suédoises commencent à avancer vers le centre russe, ou se situe le camp de tente. Les Russes les aperçoivent alors qu’ils ne sont qu’à une cinquantaine de mètres et ils sonnent immédiatement l’alarme. Malheureusement pour eux ; lorsque les renforts arrivent, les Suédois ont déjà dépassé les fortifications de campagne et ils chargent alors violemment le centre russe. Surpris, les soldats russes commencent à fuir en grand nombre, permettant aux Suédois d’envahir le camp et de capturer le duc de Croy au bout de deux heures d’affrontements chaotiques.

Sur les ailes, cependant le combat continue. Sur la gauche, la faible cavalerie russe se bat tout d’abord avec courage mais elle finit par dérouter vers un ponton sur la Neva qui s’écroule sur son poids, la plupart périssent noyés. Sur la droite, la Garde Impériale se bat bien et résiste mais, cernée de toute part et abandonnée, elle finit par reculer jusqu’au murs de Narva où elle refuse de se rendre. Coincés contre la muraille, ils résisteront héroïquement jusqu’au lendemain, avant que les derniers survivants ne sont capturés.

Les pertes russes sont importantes, environ 10 000 hommes, mais le nombre de prisonniers est encore plus élevé. Charles XII décide de ne garder prisonnier que les officiers et de conserver que les armes, les canons, les tentes et le trésor. Les autres sont donc relâchés, mais avant cela, Charles XII veut donner une leçon; il fait passer en file, devant lui, tous les soldats russes prisonniers, la tête baissée et le chapeau dans les mains.

Rancuniers, 9 ans plus tard, les Russes rendront la pareille aux Suédois dans les rues de Moscou après la victoire de Poltava.

Vous en saurez plus en consultant la page dédiée sur le site de l’Anspessade

JOUER LA BATAILLE DE NARVA AVEC VOLLEY & BAYONET

PERIODE UTILISEE

Toute l’infanterie formée est représentée par des socles de ‘’régiment’’. Toute l’infanterie Suédoise et la Garde russe sont considérées comme des Réguliers Pauvrement Entraînés, l’infanterie russe et la cavalerie russe sont de la Milice. Toute l’artillerie est pré-professionnelle.
L’infanterie Suédoise utilise la tactique Discipline de Feu Suédoise et le Gå På, elle est équipée de piques.
L’infanterie Russe utilise la tactique de Feu Linéaire Primitif.
Toute l’infanterie est équipée de mousquets et toute l’artillerie est lisse.

POIDS DE CAVALERIE

Lourde : dragons suédois contre dragons russes
Moyenne : dragons

DUREE DE LA PARTIE

La partie commence à 9.00 heures et s’achèvent à 16.00 heures maximum. Les Suédois jouent en premier.

VICTOIRE

A la fin de la partie, les deux camps comptabilisent leurs points de victoire de la manière suivante :
Pour chaque division ennemie, d’un seuil inférieur à 6, fatiguée : 1 point
Pour chaque division ennemie, d’un seuil inférieur à 6, brisée : 2 points
Pour chaque division ennemie, d’un seuil égal ou supérieur à 6, fatiguée : 2 points
Pour chaque division ennemie, d’un seuil égal ou supérieur à 6, brisée : 3 points
Le camp ayant le plus de points gagne la partie. En cas d’égalité, le résultat est nul

PARTICULARITES DE TEMPS ET DE TERRAIN

Le camp : vous pouvez remarquer que je n’ai pas reporté le fait que les troupes russes, au centre, sont fortifiées. Cela vient du fait que je tiens à faire apparaître la surprise totale des troupes russes à la vue de l’attaque suédoise. Ces fortifications n’ont en fait servies à rien, car le temps que les Russes réagissent, les Suédois les avaient déjà traversées ou escaladées.

La neige : a partir du tour trois, la neige gène considérablement la visibilité qui est limitée à 5cm et les mouvements, diminuant de moitié la capacité de mouvement des unités. L’artillerie, si est déplacée, jette un D6 ; sur un résultat de 1-3, elle est enneigée, et ne peut bouger dans le tour.

Le fleuve Neva ne peut être traversée.

DEPLOIEMENT

Les Suédois :

– Infanterie de l’aile gauche : sur la colline, zones B3-B4, face à l’est.
– Cavalerie de l’aile gauche : zone B2, face à l’est
– Infanterie de l’aile droite : zone A5, face à l’est.
– Cavalerie de l’aile droite : zone A7, face à l’est.

Les Russes :

– Aile droite : zone D2-D3, face au nord-est, devant le bois, la Garde à l’extrême gauche des lignes.
– Centre : a la limite ouest du camp, zone C4-C5, aile gauche appuyée sur le village de Rekylla.
– Aile gauche : du village de Rekylla à droite en oblique vers la Neva, zones C6-D7, face au sud-ouest.

LES SUEDOIS

ARMEE DE CARELIE

Le roi Charles XII (commandement d’armée, monarque)

Aile gauche
Général Rehnskjold (commandement de corps), il peut être commandant d’armée.
Infanterie (seuil de fatigue = 3)

Régiments Hestefehr / Stenbock / Dal (2/6)
Régiments Narke-Varmlands / Vastermanlands (2/6)
Régiments Finnar (2/6)
1ier bataillon d’artillerie légère (2/5)
2ième bataillon d’artillerie légère (2/5)
3ième bataillon d’artillerie légère (2/5)

Cavalerie (seuil de fatigue = 2)
Général Ribbing (commandement de division)
Brigade de cuirassiers du Drapeau du Roi / Estnika / Abo Lans (2-6)
Brigade de dragons de Livdrabandaren / la Garde / Kanelska (2-6)

Aile droite
Général Posse (commandement de corps)

Infanterie (seuil de fatigue = 3)
Régiments des grenadiers de la Garde / Numers / Plamqist / Ehrenstein (2/6)
Régiments de Posse / Spaare / Halsinge (2/6)
Régiment des Vastermanlands (2/6)
1ier bataillon d’artillerie légère (2/5)
2ième bataillon d’artillerie légère (2/5)

Cavalerie (seuil de fatigue = 2)
Général Watchmeister (commandement de division)
Brigades de cuirassiers de Nylands (2/6)
Brigades de cuirassiers de Kareklska & de dragons de la Garde / Karelska (2/6)*
* mouvement comme des cuirassiers, combat comme dragons.

LES RUSSES

Général le duc Eugène de Croy (commandement d’armée)
Bataillon d’artillerie légère (3/5)

Aile droite (seuil de fatigue =9)
Général Golovin (commandement de division)
Régiment de la Garde Preobrazhenski (3/6)
Régiment de la Garde Semenovski (2/5)
Régiment Filwerk (2/4)
Régiment Scheven (3/4)
Régiment Ivanitski (3/4)
Régiment Mewes (2/4)
Régiment Blietz (2/4)
Régiment Bohlman (2/4)
Régiment M. Treiden (2/4)

Centre (seuil de fatigue = 6)
Général Trubetskoi (commandement de division)
Régiments Colomb Dewitzen (3/4)
Régiments Bruce / Westhoff (2/4)
Régiments Amiroff / Bajoff (2/4)
Régiment Skretakov (2/4)
Régiments Jeltjaninov / Sucharov (2/4)
Régiments Lima / Gordon (2/4)

Aile gauche (seuil de fatigue =6)
Général Weipe (commandement de division)
Régiments Gerlitz / I. Triden / Vonn Werden (3/4)
Régiment N. Balk (2/4)
Régiment von Schweden (2/4)
Régiment Junger (2/4)
Régiment F. Balk (2/4)
Régiment W. von Delden (2/4)
Régiment I. von Delden (2/4)

Aile gauche de cavalerie (seuil de fatigue= 2)
Général ? (commandement de division)
1ier Brigade de dragons (2/4)
2ième brigade de dragons (2/4)
Régiment de Cosaques (1/5, tirailleur)

narvacarte

LA BATAILLE

Le 20 novembre, au matin, le roi donne l’ordre à ses troupes de marcher sur l’ennemi et fait tirer le canon une fois pour prévenir la garnison de Narva de leur attaque, qui répond par deux coups de canon, comme le veut le code de reconnaissance suédois.

Les Suédois gravissent une colline située à deux kilomètres environ de Narva et observent les positions ennemies. Les Russes sont sous le commandement du duc Eugène de Croy, car le tsar est absent. Ce dernier a disposé ses troupes pour protéger le camp de tentes et il attend l’attaque Suédoise sans trop de conviction quand il aperçoit le peu de troupes à la disposition de Charles XII. Convaincu que les Suédois n’oseront jamais attaquer, il décide d’aller déjeuner alors que les Suédois installent leurs pièces d’artillerie sur la colline.

Charles XII et Rehnskjöld hésitent sur la conduite à tenir lorsque le temps se met soudainement à changer, un vent violent se lève et la neige se met à tomber abondamment. Les deux généraux saisissent l’opportunité. Couverts par la tempête, les lignes suédoises commencent à avancer vers le centre russe, ou se situe le camp de tente. Les Russes les aperçoivent alors qu’ils ne sont qu’à une cinquantaine de mètres et ils sonnent immédiatement l’alarme. Malheureusement pour eux ; lorsque les renforts arrivent, les Suédois ont déjà dépassé les fortifications de campagne et ils chargent alors violemment le centre russe. Surpris, les soldats russes commencent à fuir en grand nombre, permettant aux Suédois d’envahir le camp et de capturer le duc de Croy au bout de deux heures d’affrontements chaotiques.

Sur les ailes, cependant le combat continue. Sur la gauche, la faible cavalerie russe se bat tout d’abord avec courage mais elle finit par dérouter vers un ponton sur la Neva qui s’écroule sur son poids, la plupart périssent noyés. Sur la droite, la Garde Impériale se bat bien et résiste mais, cernée de toute part et abandonnée, elle finit par reculer jusqu’au murs de Narva où elle refuse de se rendre. Coincés contre la muraille, ils résisteront héroïquement jusqu’au lendemain, avant que les derniers survivants ne sont capturés.

Les pertes russes sont importantes, environ 10 000 hommes, mais le nombre de prisonniers est encore plus élevé. Charles XII décide de ne garder prisonnier que les officiers et de conserver que les armes, les canons, les tentes et le trésor. Les autres sont donc relâchés, mais avant cela, Charles XII veut donner une leçon; il fait passer en file, devant lui, tous les soldats russes prisonniers, la tête baissée et le chapeau dans les mains.

Rancuniers, 9 ans plus tard, les Russes rendront la pareille aux Suédois dans les rues de Moscou après la victoire de Poltava.

Vous en saurez plus en consultant la page dédiée sur le site de l’Anspessade

JOUER LA BATAILLE DE NARVA AVEC VOLLEY & BAYONET

PERIODE UTILISEE

Toute l’infanterie formée est représentée par des socles de ‘’régiment’’. Toute l’infanterie Suédoise et la Garde russe sont considérées comme des Réguliers Pauvrement Entraînés, l’infanterie russe et la cavalerie russe sont de la Milice. Toute l’artillerie est pré-professionnelle.
L’infanterie Suédoise utilise la tactique Discipline de Feu Suédoise et le Gå På, elle est équipée de piques.
L’infanterie Russe utilise la tactique de Feu Linéaire Primitif.
Toute l’infanterie est équipée de mousquets et toute l’artillerie est lisse.

POIDS DE CAVALERIE

Lourde : dragons suédois contre dragons russes
Moyenne : dragons

DUREE DE LA PARTIE

La partie commence à 9.00 heures et s’achèvent à 16.00 heures maximum. Les Suédois jouent en premier.

VICTOIRE

A la fin de la partie, les deux camps comptabilisent leurs points de victoire de la manière suivante :
Pour chaque division ennemie, d’un seuil inférieur à 6, fatiguée : 1 point
Pour chaque division ennemie, d’un seuil inférieur à 6, brisée : 2 points
Pour chaque division ennemie, d’un seuil égal ou supérieur à 6, fatiguée : 2 points
Pour chaque division ennemie, d’un seuil égal ou supérieur à 6, brisée : 3 points
Le camp ayant le plus de points gagne la partie. En cas d’égalité, le résultat est nul

PARTICULARITES DE TEMPS ET DE TERRAIN

Le camp : vous pouvez remarquer que je n’ai pas reporté le fait que les troupes russes, au centre, sont fortifiées. Cela vient du fait que je tiens à faire apparaître la surprise totale des troupes russes à la vue de l’attaque suédoise. Ces fortifications n’ont en fait servies à rien, car le temps que les Russes réagissent, les Suédois les avaient déjà traversées ou escaladées.

La neige : a partir du tour trois, la neige gène considérablement la visibilité qui est limitée à 5cm et les mouvements, diminuant de moitié la capacité de mouvement des unités. L’artillerie, si est déplacée, jette un D6 ; sur un résultat de 1-3, elle est enneigée, et ne peut bouger dans le tour.

Le fleuve Neva ne peut être traversée.

DEPLOIEMENT

Les Suédois :

– Infanterie de l’aile gauche : sur la colline, zones B3-B4, face à l’est.
– Cavalerie de l’aile gauche : zone B2, face à l’est
– Infanterie de l’aile droite : zone A5, face à l’est.
– Cavalerie de l’aile droite : zone A7, face à l’est.

Les Russes :

– Aile droite : zone D2-D3, face au nord-est, devant le bois, la Garde à l’extrême gauche des lignes.
– Centre : a la limite ouest du camp, zone C4-C5, aile gauche appuyée sur le village de Rekylla.
– Aile gauche : du village de Rekylla à droite en oblique vers la Neva, zones C6-D7, face au sud-ouest.

LES SUEDOIS

ARMEE DE CARELIE

Le roi Charles XII (commandement d’armée, monarque)

Aile gauche
Général Rehnskjold (commandement de corps), il peut être commandant d’armée.
Infanterie (seuil de fatigue = 3)

Régiments Hestefehr / Stenbock / Dal (2/6)
Régiments Narke-Varmlands / Vastermanlands (2/6)
Régiments Finnar (2/6)
1ier bataillon d’artillerie légère (2/5)
2ième bataillon d’artillerie légère (2/5)
3ième bataillon d’artillerie légère (2/5)

Cavalerie (seuil de fatigue = 2)
Général Ribbing (commandement de division)
Brigade de cuirassiers du Drapeau du Roi / Estnika / Abo Lans (2-6)
Brigade de dragons de Livdrabandaren / la Garde / Kanelska (2-6)

Aile droite
Général Posse (commandement de corps)

Infanterie (seuil de fatigue = 3)
Régiments des grenadiers de la Garde / Numers / Plamqist / Ehrenstein (2/6)
Régiments de Posse / Spaare / Halsinge (2/6)
Régiment des Vastermanlands (2/6)
1ier bataillon d’artillerie légère (2/5)
2ième bataillon d’artillerie légère (2/5)

Cavalerie (seuil de fatigue = 2)
Général Watchmeister (commandement de division)
Brigades de cuirassiers de Nylands (2/6)
Brigades de cuirassiers de Kareklska & de dragons de la Garde / Karelska (2/6)*
* mouvement comme des cuirassiers, combat comme dragons.

LES RUSSES

Général le duc Eugène de Croy (commandement d’armée)
Bataillon d’artillerie légère (3/5)

Aile droite (seuil de fatigue =9)
Général Golovin (commandement de division)
Régiment de la Garde Preobrazhenski (3/6)
Régiment de la Garde Semenovski (2/5)
Régiment Filwerk (2/4)
Régiment Scheven (3/4)
Régiment Ivanitski (3/4)
Régiment Mewes (2/4)
Régiment Blietz (2/4)
Régiment Bohlman (2/4)
Régiment M. Treiden (2/4)

Centre (seuil de fatigue = 6)
Général Trubetskoi (commandement de division)
Régiments Colomb Dewitzen (3/4)
Régiments Bruce / Westhoff (2/4)
Régiments Amiroff / Bajoff (2/4)
Régiment Skretakov (2/4)
Régiments Jeltjaninov / Sucharov (2/4)
Régiments Lima / Gordon (2/4)

Aile gauche (seuil de fatigue =6)
Général Weipe (commandement de division)
Régiments Gerlitz / I. Triden / Vonn Werden (3/4)
Régiment N. Balk (2/4)
Régiment von Schweden (2/4)
Régiment Junger (2/4)
Régiment F. Balk (2/4)
Régiment W. von Delden (2/4)
Régiment I. von Delden (2/4)

Aile gauche de cavalerie (seuil de fatigue= 2)
Général ? (commandement de division)
1ier Brigade de dragons (2/4)
2ième brigade de dragons (2/4)
Régiment de Cosaques (1/5, tirailleur)

Nicolas Lamberti

Nicolas Lamberti, journaliste et traducteur freelance, critique littéraire et réalisateur de télévision

Nicolas Lamberti

Nicolas Lamberti, journaliste et traducteur freelance, critique littéraire et réalisateur de télévision

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